Articles taggés avec ‘bagne’

Par droit de compétence


samedi 17 mai 2014 par JMD

Le témoin Jacob n’utilise pas son expérience pour sa gloire et son seul profit. C’est un homme, que l’Administration Pénitentiaire n’a pas réussi à briser et qui, depuis sa libération, le 31 décembre 1927, entend dire sa douloureuse expérience et écrire contre une institution totale qui annihile une liberté considérée ici comme un des principes fondamentaux de la pensée anarchiste et individualiste. Les quelques lettres échangées avec le député des Hautes Alpes Ernest Lafont, au début de l’année 1932, exposent le discours pénal et les théories judiciaires de l’anarchiste à l’occasion de la proposition de loi Sibille sur la peine des travaux forcés, proposition envisagée comme un cautère sur une jambe de bois par l’ancien fagot qui n’a ici rien perdu de son mordant. Lire le reste de cet article »

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Antoine par Laurent


samedi 19 avril 2014 par JMD

Gavroche, n°166, avril-juin 2011

Laurent Gallet

INJUSTICE POLITIQUE

Antoine Cyvoct, premier martyr de l’anarchie

Une décennie avant les comparses de Ravachol, avant Léauthier et Meunier, le Lyonnais Antoine Cyvoct fut envoyé au bagne à l’occasion de la première affaire retentissante de propagande par le fait en France. Sa vie est celle de son combat pour faire reconnaître son innocence. Antoine Cyvoct est inconnu des autorités avant la date du 7 août 1882, où il est désigné nouveau gérant du journal anar­chiste L’Etendard révolutionnaire lors d’une réunion générale des groupes de la fédération révolutionnaire lyonnaise. Il garde la gérance du journal le temps de cinq numéros parus entre le 13 août et le 10 septembre 1882 et prend la parole lors de cinq réunions jusqu’au 4 octobre. Trois jours après, il est interrogé par le juge d’instruc­tion Rigot, sur l’inculpation d’avoir « directement provoqué à commettre les crimes de meurtre, de pillage et d’incendie sans que cette provocation ait été suivie d’effets ». Lire le reste de cet article »

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Vers la libération


samedi 12 avril 2014 par JMD

La campagne de presse qui débute le 27 février 1925 dans les colonnes du Peuple, organe de la CGT, se poursuit dans celles du Quotidien. Elle aboutit cinq mois plus tard à la commutation de peine du forçat 34777. Mais cette grâce intervient aussi dans le contexte bien précis d’un critique généralisée du bagne. Marie Jacob a d’ailleurs rencontré Albert Londres à Paris. Ses appels à l’aide et au soutien trouvent alors de plus en plus d’écho. Toutes les tentatives de la mère courage, jusqu’à présent, s’étaient soldées par des échecs. Lire le reste de cet article »

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34777 codes


samedi 5 avril 2014 par JMD

La correspondance du bagne est épluchée par l’administration pénitentiaire qui n’hésite pas à confisquer les missives dès que celles-ci lui semblent suspectes ; celles de Jacob contiennent donc de nombreux passages codés. Jacob se sert souvent de ce subterfuge pour décrire les difficultés de circulation du courrier illicite. Quelquefois il annonce des tentatives d’évasion, d’autres fois il exhorte sa mère à la plus grande prudence vis-à-vis de telle ou telle connaissance. Une grande partie des noms codés, dont les éditions L’Insomniaque font un inventaire presque complet en 1995 puis en 2004 dans les Ecrits du matricule 34777, représentent soit Jacob lui-même, soit sa mère, soit des intermédiaires, amis ou ennemis, soit des projets. Lire le reste de cet article »

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Dix questions à … Jean-Lucien Sanchez


samedi 29 mars 2014 par JMD

Jean-Lucien Sanchez travaille sur l’histoire pénale et coloniale de la Troisième République. Avec A perpétuité, sorti en 2013 chez Vendémiaire, il vous invite à un voyage de 384 pages dont on  ne revient pas forcément indemne. Vous rencontrerez les quelques 17000 incorrigibles de la petite délinquance que la loi du 27 mai 1885 promettait à une disparition rapide et certaine sous le sunlight des tropiques de la France ultramarine. Vous côtoierez le bas-fond des bas-fonds, le monde des pieds-de-biche. Vous sentirez sur vous l’odeur des corps anémiés et meurtris par la faim, la chaleur, les maladies, les coups, le travail forcé. Vous sentirez, vous approcherez, vous toucherez, vous verrez cette œuvre d’exclusion et de mort légale que fut la relégation. « C’était l’oubliette de la République, le réceptacle de toutes les misères sociales, le résidu des ‘hommes tarés’ » écrit Dominique  Kalifa dans son compte-rendu pour le journal Libération en date du 06 février 2013. On peut y rajouter aussi les femmes, même si elles ne furent que 509 entre 1887 et 1905 à échouer dans la colonie pénitentiaire. Point de voyeurisme pourtant dans cette étude au style simple, limpide, clair, mais une histoire sombre et oubliée qui, à n’en pas douter, fera date dans la connaissance des bagnes de Guyane. Car la relégue n’avait jamais été à ce point aussi bien révélée. L’auteur raconte des vies perdues comme celles d’Henry Marty et de Philippe Martinez dont les souvenirs qu’il a préfacés ont paru aux éditions Albache en 2011. C’est peu dire que nous vous conseillons fortement la lecture de ces deux livres de Jean-Lucien Sanchez qui a bien voulu répondre ici à quelques-unes de nos questions. Lire le reste de cet article »

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Une histoire des bagnes en Guyane


samedi 15 mars 2014 par JMD

Gavroche

N°132, novembre – décembre 2003

Archives inédites pour un nouveau regard sur une histoire des bagnes de Guyane

La Boutique de l’Histoire – éditions a publié cet été le livre de Danielle Donet-Vincent « De soleil et de silences – Histoire des bagnes de Guyane ».

Après un livre sur la fin du bagne, en 1992, l’histo­rienne s’est spécialisée dans la transportation colo­niale. Son étude de documents qui n’avaient pas encore été exploités permet d’enrichir la recherche sur ce sujet et d’apporter des témoignages qui ren­dent leur humanité aux acteurs du bagne, condam­nés, surveillants, fonctionnaires, aumôniers des premières années et militants d’une fermeture déci­dément bien longue à obtenir. Mais en a-t-on fini avec l’idée qu’au-delà de la punition nécessaire, c’est encore mieux quand on peut se débarrasser des indésirables ? Le nombre effarant des détenus dans nos prisons montre que la question reste tou­jours actuelle. Lire le reste de cet article »

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Pour Paul


samedi 8 mars 2014 par JMD

Les combats du quinquagénaire Jacob ont évolué. Qu’elle soit métropolitaine ou coloniale, il s’agit désormais pour lui de dénoncer l’horreur carcérale.  A l’appui de sa douloureuse expérience  et nanti d’un savoir presque universitaire dans le domaine de la justice criminelle, l’ancien fagot n’a de cesse depuis sa libération le 30 décembre 1927 de révéler le monstre bagne et d’apporter son soutien à ses anciens camarades d’infortunes. Il n’est en rien cet homme brisé, usé, fatigué que ses deux biographes romanciers ont imaginé. Bien au contraire, les quelques sources dont nous disposons nous montrent un homme actif utilisant ses réseaux et ses contacts pour faire avancer son combat contre les prisons, contre toutes les prisons. C’est lui qui s’occupe de faire publier le Médecin au bagne de son ami Louis Rousseau en 1930. C’est encore lui qui participe à des conférences en 1929 à Paris sur ce qu’il a pu subir en Guyane. C’est enfin lui qui  donne cette année-là dans le numéro 4 du Réfractaire, organe de la Ligue internationales des Réfractaires à toutes guerres dans lequel nous pouvons trouver les signatures de Sébastien Faure, de Victor Méric, de Georges Pioch ou encore de Julien Le Pen , un article jamais réédité depuis et réclamant le retour en métropole d’un « homme-cloporte », « injustement, iniquement condamné » le 5 mai 1908 par le conseil de guerre de Tunis à vingt ans de travaux forcés. Lire le reste de cet article »

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Huit questions à … La Pigne


samedi 22 février 2014 par JMD

Sabine Barbier est une des animatrices du site web Paroles d’artistes. Nous l’avons rencontrée à l’occasion d’une séance de dédicaces des livres des éditions de La Pigne à la librairie Le Neuf de Saint Dié des Vosges au début du mois de juillet dernier et nous avons pu constater son enthousiasme pour la réédition des Dix-huit ans de bagne de Jacob Law.  L’interview qu’elle a proposé et qu’elle a mis en ligne le 05 octobre 2013 a permis d’évoquer l’enfer carcéral guyanais mais aussi de présenter cette micro-production voulant sortir du carde institué. Et, pour une fois, aucune question sur un très hypothétique rapprochement entre un cambrioleur réel et un autre nettement plus littéraire. Quand la lupinose n’est pas là, La Pigne fait sa promo en attendant de montrer sa production et de faire votre connaissance dans les salons du livre de France, de Navarre et d’au-delà les frontières. Mais, amis jacoblogueurs, vous pouvez aussi commander LES MEGOUSTASTOUX DE Steve Golden et Quercus Robur, le BOCALBLUES de Gil ou encore les souvenirs carcéraux de Jacob Law. Cela aidera à sortir le quatrième pignolesque opus de cette toute toute petite maison d’édition vosgienne : FELICE ET MANETTE LES OIES DU CAPITAL. Lire le reste de cet article »

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Une révolte au bagne


samedi 15 février 2014 par JMD

Marianne Enckell

Gavroche n°50, mars-avril 1990

UNE RÉVOLTE AU BAGNE

Le récent ouvrage de Michel Pierre, Le Dernier Exil, histoire des bagnes et des forçats (Découvertes Gallimard, 1989) est une compilation large, et lar­gement illustrée, de la mince littérature existant sur les bagnes français. On peut s’étonner de la désorganisation et de l’approximation de la bibliographie (ordre, dates et lieux d’édition fantai­sistes, absence de quelques «clas­siques») et de la chronologie. C’est notamment à partir d’avril 1887, et non de 1888, que les transportés reprennent le chemin de Cayenne, partant de Tou­lon avant de s’embarquer à Saint-Mar­tin-de-Ré.

Hommage soit rendu à Albert Londres pour avoir dénoncé l’infamie de la Guyane. Mais on oublie trop souvent, même en une année de commémora­tions, Joseph Reinach et la Ligue des droits de l’homme. Dans le cadre de la campagne en faveur de Dreyfus, ils pri­rent la défense de cinq anarchistes condamnés injustement à leurs yeux: des « condamnés de droits commun, qui sont, en réalité, des condamnés poli­tiques; qui ont été frappés par la justice, non pour des faits précis, mais en rai­son de leurs opinions : qui sont au bagne et n’y devraient pas être » (Rap­port sur les cas de cinq détenus des Iles du Salut (île Royale) : présenté au Comité de la Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen par M. Joseph Reinach et adop­té à l’unanimité par le Comité ; Paris : P- V. Stock, éditeur, 1899). On attirait ainsi pour une des premières fois l’attention sur la « guillotine sèche ». Lire le reste de cet article »

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Femmes au bagne


samedi 18 janvier 2014 par JMD

Michel Pierre

Gavroche n°4-5

Juin-septembre 1982

Le 26 décembre 1858, le bateau-cage Loire quitte Brest à destination de la Guyane. Dans ses flancs se trouvent 36 femmes condamnées aux travaux forcés. Un mois plus tard, le navire accoste aux Iles du Salut. La promesse faite par le commissaire général de la Guyane, Sarda- Garriga, aux premiers bagnards transportés en 1852, à la suite du coup d’Etat de Louis Napoléon Bonaparte, était tenue. « Lorsque vous aurez fait un retour sincère à vos bons sentiments, le gouvernement de la France vous enverra vos familles. Je marierai les célibataires, et vos enfants, que je m’appliquerai à faire élever dans la pratique de la vertu, feront oublier, par leur bonne conduite, les fautes de leur père… » Louable entreprise, à cette nuance près que les femmes disponibles étaient des détenues… Lire le reste de cet article »

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1925 : libérez mon fils


samedi 16 novembre 2013 par JMD

1925, retour du bagne. Le rapatriement en métropole du matricule 34777 n’est pas seulement dû à un heureux concours de circonstances à la suite de l’effet Albert Londres et d’une critique généralisé de l’institution pénitentiaire coloniale. Jamais Marie Jacob n’a mis en berne l’espérance de voir son rejeton revenir de l’enfer guyanais. Le portrait qu’elle dresse de lui dans les lettres qu’elle adresse depuis le début au ministre de la justice, au ministre des colonies ou encore au président de la République ne varie pas non plus. C’est celui d’une victime de son entourage et de ses fréquentations. Comme à son habitude Marie Jacob utilise un ton larmoyant et c’est toujours « une pauvre vieille mère éplorée », une mère courage, qui supplie le chef de l’état le 17 janvier. Pourtant, la situation a changé et, contrairement aux autres missives, celle-ci est appelée à  une fin plus heureuse. Lire le reste de cet article »

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Pini dans les coulisses


samedi 19 octobre 2013 par JMD

Nous ne savons pas grand-chose de , Charles- Marie Flor O’Squarr. Nous ne connaissons même pas sa date de naissance. Tout juste pouvons-nous avancer que cet écrivain et publiciste belge a suivi la voie tracée par son père Joseph Charles (1830-1890) dont il reprend d’ailleurs le pseudonyme. Il a été rédacteur au Figaro et au Petit Parisien avant d’entrer au Matin. Décédé en 1921, il était aussi correspondant en Belgique du Temps. Auteur aujourd’hui oublié, il demeure néanmoins une référence pour qui étudie le mouvement anarchiste français. Ses Coulisses de l’anarchie ont paru tout juste après l’exécution de Ravachol en 1892. Si l’auteur cherche un coup médiatique évident à la manière du Péril anarchiste de Félix Dubois deux ans plus tard, force est alors de reconnaitre que son livre fourmille de renseignements malgré les a-priori de son temps. Lire le reste de cet article »

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Dix huit ans de bagne de nouveau disponible !


samedi 28 septembre 2013 par JMD

1907. L’homme qui a fait feu sur la soldatesque chargeant la foule parisienne du 1er mai, cumule les aprioris d’une époque marquée du sceau de l’insécurité. Il est Juif. Il est Russe. Pire, il est anarchiste et, un peu plus de dix ans auparavant, les bombes de Ravachol, Vaillant, Henry terrorisaient l’hexagone. Il s’appelle Jacob Law. Il est né à Balta, en Bessarabie (aujourd’hui Moldavie) en 1885. C’est un étranger, maitrisant mal la langue de Voltaire et revendiquant hautement son acte de propagande par le fait. La cour d’assises de la Seine le condamne le 9 octobre à quinze ans de travaux forcés. L’espérance de vie du bagnard, à son arrivée en Guyane, ne dépasse guère cinq ans. Pendant dix-huit années Law survit à l’enfer pénitentiaire et colonial. Revenu en France en 1925, il a juste le temps d’écrire ses douloureux souvenirs avant de disparaitre. Il était sous le coup d’un arrêté d’expulsion faisant suite à une interdiction de séjour. Lire le reste de cet article »

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Benjamin, Alexandre, Paul et les autres


samedi 21 septembre 2013 par JMD

A  C’est-toi-qui-dit-qui-est, Benjamin est un champion, un as, un maître inégalé. Monsieur anime un de ces nombreux sites internet et autres blogs sur le bagne où l’involontaire drôlerie finit fatalement par édulcorer les grincements de dents qu’ils peuvent provoquer, d’abord par les nombreuses erreurs que l’on peut y trouver, ensuite par les multiples a priori et propos partisan. Certes nous pourrions objecter que la science historique est tout sauf un regard objectif sur le passé. Certes, encore, on pourrait affirmer que le Jacoblog ne s’embarrasse pas non plus de parti pris. Mais, à trop vouloir s’essayer à la critique névrotique et obsessionnelle à tout crin, sous prétexte d’approcher l’inaccessible Vérité, nous en savons certains qui se sont brûlés les ailes et d’autre qui comme Atlas ont fini par porter le globe comme on porte tous les malheurs du Monde. Benji risque fort de se prendre les pieds dans le tapis … normal quand ces derniers doivent supporter un boulet. De bagnard bien sûr. Lire le reste de cet article »

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Hors du commun ?


samedi 14 septembre 2013 par JMD

Il convient d’aborder avec une certaine méfiance les papiers ayant, sur la toile, l’honnête cambrioleur comme sujet. D’abord parce que c’est souvent du n’importe nawak pompé allègrement sur oui-oui qui pédia et sans aucune mention de sources. Ensuite, parce que l’auteur fait fréquemment preuve  si ce n’est d’un égo surdimensionné, en tout cas d’une formidable prétention historique à détenir une réalité vraie et affirmée là où, finalement, on ne trouvera que prisme déformant et a priori pour le moins subjectifs. Recenser ces nombreux articles revient donc à s’inscrire dans une démarche historiographique. Celui, très long et publié sur Criminocorpusle 27 mars 2013, de Colombe de Dieuleveult, nous est apparu à dix lieux de ce qu’habituellement on peut lire … même sur ce site réputé gage de probité scientifique. Lire le reste de cet article »

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