A lire … ou pas

L’Incorrigible


samedi 7 octobre 2023 par JMD

Roland et Louis portent le même nom. Roland est graveur, photographe, dessinateur, serial-artiste trancheur à la tronçonneuse. Il a redonné vie à Louis. Louis Cros est mort il y a fort longtemps. Anonyme, perdu, vaincu de guerre sociale en Guyane dans une époque que d’aucuns oseraient qualifier de belle. Louis a vraiment existé même si l’auteur de L’Incorrigible a déplacé son histoire d’une cinquantaine d’année pour mieux mettre en valeur le traitement pénal de la question délinquante en cette fin de XIXe siècle. Louis est bagnard, Louis est le personnage de L’Incorrigible, un formidable roman graphique sans parole paru aux éditions de L’Echappée.

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L’homme libre : la souscription


samedi 4 juin 2022 par JMD

« Tout jeune, le virus de justice m’a été inoculé, cela m’a valu bien des désagréments. Aujourd’hui encore, au déclin de la vie, la moindre injustice me heurte et réveille en moi le Don Quichotte de mes jeunes printemps. »

Alexandre Jacob 1954

Il était Georges, Attila quand il pillait les églises de France et d’ailleurs ou encore Barrabas dans les camps de travaux forcés guyanais. L’anarchiste de la Belle Époque a fini d’expier ses crimes depuis le 30 décembre 1927. Presque un quart de siècle à payer ses horribles atteintes à la propriété. Prématurément vieilli au régime de la géhenne, l’audacieux Travailleur de la nuit aurait perdu ses repères ? Rien n’est moins faux. Alexandre Marius Jacob (1879-1954), « cambrioleur en retraite », honnête marchand forain au curriculum vitae particulièrement chargé,  a quarante-huit ans. Le bagne ne l’a pas brisé. Il est L’homme libre et a encore des Bastilles à faire tomber, des choses à dire et un amour à assumer. Prison, Josette, anarchie. Lire le reste de cet article »

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L’homme libre


samedi 19 février 2022 par JMD

« Tout jeune, le virus de justice m’a été inoculé, cela m’a valu bien des désagréments. Aujourd’hui encore, au déclin de la vie, la moindre injustice me heurte et réveille en moi le Don Quichotte de mes jeunes printemps. » 1954

Il était Georges, Attila quand il pillait les églises de France et d’ailleurs ou encore Barrabas dans les camps de travaux forcés guyanais. L’anarchiste de la Belle Époque a fini d’expier ses crimes depuis le 30 décembre 1927. Presque un quart de siècle à payer ses horribles atteintes à la propriété. Prématurément vieilli au régime de la géhenne, il aurait perdu ses repères ? Rien n’est moins faux. Alexandre Marius Jacob, « cambrioleur en retraite », honnête marchand forain au curriculum vitae particulièrement chargé,  a quarante-huit ans. Le bagne ne l’a pas brisé. Il est l’homme libre et a encore des Bastilles à faire tomber, des choses à dire et un amour à assumer. Prison, Josette, anarchie. Lire le reste de cet article »

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Georges


jeudi 2 décembre 2021 par JMD

Le voyage de Georges est sans retour. C’est du moins ce qu’il y a d’écrit sur la 1e de couverture du beau livre de Solveig Josset qui sortira officiellement en juin 2022 au Verger des Hespérides. Il est d’ores et déjà disponible sur le site internet de la chouette maison d’édition nancéenne, spécialisée dans le livre jeunesse. Elle vient de frapper un grand coup dans l’historiographie des bagnes guyanais en offrant à ses jeunes lecteurs la connaissance des camps de travaux forcés de la colonie française d’Amérique du Sud. Georges Bienvenu a réellement existé. Il portait le matricule 38523. Il est décédé aux camps des Hattes (aujourd’hui la commune d’Awala-Yalimapo) le 8 décembre 1912. Un parfait inconnu, un anonyme parmi les quelques 100 000 hommes et femmes punis, envoyés loin de la métropole (Nouvelle-Calédonie comprise) entre 1852 et 1938. Son arrière-arrière-petite-fille a décidé de réinventer son histoire. Elle n’est pas jolie mais c’est un pavé, une brique frappée du sceau de l’Administration pénitentiaire, que le môme va manger dans sa face. Lire le reste de cet article »

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Précis, référencé, détaillé !


jeudi 24 décembre 2020 par JMD

Jean-Marc Berlière est professeur émérite à l’université de Bourgogne. Spécialiste de l’histoire des polices françaises, sa route a maintes fois croisé celle de l’honnête cambrioleur Jacob dans ses recherches… Il n’ignore pas bien évidement le lien unissant ce dernier à Louis Rousseau.  Jean-Marc Berlière a lu la réédition du Médecin au bagne chez Nada et nous dit l’importance historiographique de ce « précieux témoignage » sur les pénitenciers coloniaux de Guyane dans sa Lettre aux amis d’une police et d’une gendarmerie républicaines et protectrices des citoyens. Lire le reste de cet article »

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Pendant le confinement…


samedi 31 octobre 2020 par JMD

C’est sûr, vous allez manquer de livres ! Mais ce n’est plus un problème et vous pouvez même vous passer d’Amazon et autres golems de la web-distribution. Les petites maisons d’éditions, les éditions associatives, les librairies indépendantes ont besoin de votre soutien et c’est pourquoi le Jacoblog vous indique où cliquer pour avoir les livres qui lui tiennent à cœur et en particulier Les hommes punis – Un médecin au bagne de Louis Rousseau qui vient tout juste de sortir chez Nada. Ce serait bigrement dommage de se priver de cette instructive démonstration sur les camps de travail français en Guyane. On n’aura de cesse de le répéter ; ce livre est une source majeure, la source majeure pour comprendre l’horreur carcérale et coloniale commise outre-atlantique

Chez Nada par le biais de la librairie parisienne QUILOMBO : https://librairie-quilombo.org/les-hommes-punis

Sur le site des éditions de LA PIGNE : https://lapigne.org/livres/les-hommes-punis/

Pour ceux qui habitent Saint-Dié des Vosges de l’univers, la librairie LE NEUF organise un drive ; vous commandez et vous allez chercher. C’est tout simple et c’est ici : https://www.librairieleneuf.fr/

Et si vous voulez vous instruire sur l’Honnête cambrioleur, l’ACL fait aussi de la vente en ligne : http://www.atelierdecreationlibertaire.com/Alexandre-Jacob-l-honnete-cambrioleur,567.html

Il n’y a plus à hésiter !

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Lignesenstock, l’honnête recension


mardi 27 octobre 2020 par JMD

« C’est, tout simplement, des lignes que j’écris, que je stocke. Avec mes commentaires à moi personnels. Que vous les lisiez ou non, merci d’être passé me voir. » nous dit Jean-Michel pour présenter son blog de critiques littéraires, musicales, théâtrales et cinématographiques. Nous l’avions rencontré lors d’un salon du livre libertaire il y a fort fort longtemps et, depuis, l’infatigable lecteur a enfin ouvert l’honnête biographie commise chez l’Atelier de Création Libertaire. Procrastination devant « un pavé de 530 pages, écrit petit » ? Il y a certainement un peu de cela. Mais prenant son courage et son livre à deux mains, il a épluché le dit pavé pour en jacter deux mots par la suite et, de toute évidence, il a goûté la vision historique que L’honnête cambrioleur tente de transmettre d’Alexandre Jacob. Et si Jean-Michel Lacroûte vous conseille désormais d’en apprécier à votre tour l’honnête lecture garantie sans lupinose, c’est qu’il n’y a plus à hésiter un moment. L’honnête biographie est en commande en ligne directe sur le site de la maison mère ou chez votre libraire indépendant. Lire le reste de cet article »

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Un médecin au bagne enfin réédité !


jeudi 22 octobre 2020 par JMD

Il est écrit que 2020 ne sera pas seulement une année marquée par l’urgence sanitaire. Le Jacoblog aime à y voir aussi une année de publications, et donc d’enrichissement de la connaissance sur le bagne. Le Matricules de Philippe Collin aux éditions Orphie nous rappelle combien le fagot fut aussi un homme tandis que les extraits des lettres d’Alexandre Jacob publiées une 1e fois à L’Insomniaque en 2000 puis réédités et enrichis par les éditions de La Pigne nous révèlent par les yeux du matricule 34777 l’Extermination à la française prévalant dans les camps de travail forcés de Guyane. Nous l’attendions depuis fort longtemps et les éditions Nada l’ont fait. La réédition de l’inestimable ouvrage du Dr Louis Rousseau (1879-1969) est devenue réalité et c’est peu dire que la mémoire du Médecin au bagne met en lumière tout un système éliminatoire qui broya, entre 1852 et 1953, la vie de plus de 70 000 Hommes punis. Lire le reste de cet article »

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Si l’écho de leur voix faiblit…


mardi 1 septembre 2020 par JMD

Matricules

coordination : Philippe Collin

préface : Jean-Marc Delpech

Participants : Alain Denizet et Alexandre Dupuy

Orphie, septembre 2020, 296 p., 18€

 

Les systèmes totalitaires ont par essence une logique comptable. Il en va ainsi pour n’importe quelle administration dans quelque régime que ce soit. Le classement de l’information réduit l’homme à un simple numéro et il ne constitue alors plus qu’un rouage interchangeable autorisant le fonctionnement de la matrice. L’homme n’existe plus. Sa vie, sa personnalité, importent peu ou plutôt doivent être niés, détruites, éliminées pour que le principe puisse être efficient et pérenne. Elles sont appelées à sombrer dans les limbes d’un oubli bureaucratique tout kafkaïen. Cela est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit du traitement de la question pénale en milieu concentrationnaire. Lire le reste de cet article »

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Jacob est-il soluble dans la BD ?


samedi 29 août 2020 par JMD

Depuis le 13 avril 2016, Pandora, la revue de bande dessinée de Casterman, parait de manière aléatoire. Après presque une année d’interruption, le tome 5 est sorti le 17 juin 2020, réunissant une soixantaine d’auteurs et de dessinateurs pour égayer l’été du bédéiste averti. Égayer ? Pas seulement. Parmi la cinquantaine de « short stories » (traduire peut-être par « histoire courte » ?), celle de Killofer et Raphaël Meltz propose malicieusement de la page 8 à la page 13 un intéressant propos sur la possibilité ou non de produire une œuvre, une histoire, un scénario sur l’honnête cambrioleur Jacob. Lire le reste de cet article »

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Extermination à la française : la souscription


mardi 24 décembre 2019 par JMD

Le 13 janvier 1906, Alexandre Marius Jacob (1879-1954), condamné dix mois plus tôt aux travaux forcés à perpétuité par la Cour d’assises d’Amiens, débarque aux îles du Salut, Guyane. Il est Barrabas, matricule 34777. La correspondance qu’il entretient avec Marie, sa mère, pendant vingt ans, dit le sort réservé à ceux qu’il appelle les « vaincus de guerre sociale », petits ou grands criminels en tout genre que l’on élimine depuis 1854 en les envoyant à plus de 7 000 km de la métropole. Espérance de vie du bagnard à son arrivée dans la colonie pénitentiaire d’Amérique du Sud ? Moins de 5 ans ! Au total près de 75 000 fagots mangés par les requins ou balancés dans les fosses communes de l’oubli amazonien. Très peu en sont revenus. Jacob fut de ceux-là. Un témoignage de premier ordre, une source fondamentale sur une Extermination à la française qui ne dit pas son nom. Lire le reste de cet article »

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Banditisme et révolte sociale


dimanche 1 décembre 2019 par JMD

L’article Banditisme et révolte sociale, que publie le blog Zones subversives le 28 novembre 2019, recense le très utile ouvrage d’Éric J. Hobsbawn Les bandits, paru en 1972 chez Maspero et qu’ont réédité en 2018 Les éditions de La Découverte.  Mais le papier qui analyse surtout l’apport du vol et du voleur à la cause politique serait totalement pertinent s’il n’omettait point l’évocation de l’illégalisme anarchiste. Quid des Duval, Pini, Schouppe et autres Jacob que l’on peut considérer comme autant de révolutionnaires de bonne foi pour ne verser que dans l’exemple hexagonal ? « Anarchiste révolutionnaire, j’ai fait ma révolution ; vienne l’anarchie » (Alexandre Jacob; Amiens 1905). L’idée d’un banditisme social majoritairement rural tronque alors quelque peu l’interprétation du phénomène. Lire le reste de cet article »

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« Vous aurez ma graisse, pas ma peau », Clément Duval


mardi 26 novembre 2019 par JMD

« Donc camarades, si vous agissez, faîtes-vous tuer, couper la tête. Mais n’allez jamais au bagne »

Ainsi se concluent les mémoires de Clément Duval et cette phrase, lancée comme un avertissement, justifie à elle seule l’importance du témoignage de l’enfermé à ciel ouvert que fut cet anarchiste. Espérance de vie du transporté à l’arrivée en Guyane ? À peine cinq ans ! Duval y est resté presque quinze ! C’est dire combien résonne lourdement cette conclusion et combien elle illustre à merveille ce système éliminatoire, cette véritable extermination programmée depuis le décret-loi impérial du 30 mai 1854 et renforcée par la sinistre loi républicaine de 1885 instituant la relégation. Aux condamnés aux travaux forcés à temps ou à perpétuité viennent ainsi s’ajouter – époque hygiéniste et climat médiatique d’insécurité obligent – les multirécidivistes de la petite et moyenne délinquance que l’on expurge à plus de 7000 km de la métropole. Le robinet d’eau sale coule à flot et le bagne a vécu presque centenaire. De sa création jusqu’à l’arrêt de la transportation en 1938, ce furent près de 75000 « vaincus de guerre sociale », comme les appelait l’honnête bagnard Jacob en 1914, qui ont fini leur vie dans le ventre d’un requin ou bien enfouis anonymes dans les limbes de la tourbe amazonienne. Et, comme il est écrit sur la quatrième de couverture du livre que les éditions Nada viennent fort à propos de rééditer : « rares sont ceux qui ont survécu à l’enfer du bagne, plus rares encore ceux qui ont pu le raconter ». Lire le reste de cet article »

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Alexandre Jacob l’honnête cambrioleur II


dimanche 27 janvier 2019 par JMD

Le portrait d’un anarchiste ne demandait qu’à s’affiner.  Nous avons certes mis le temps mais, au bout de  – grâce à plutôt – onze années de bons et loyaux services pour le Jacoblog, nous avons éclairci le parcours de l’honnête homme pour la réédition de sa biographie.

Honnête ?

« Qui est conforme ou qui se conforme aux règles de la morale, de la probité, de la loyauté » nous dit le Petit Larousse. Mais de quelle morale peut-il s’agir dans une société régie par le capitalisme triomphant et soutenue par le principe de la lutte des classes ? « Qui ne vole pas, ne fait ni escroquerie, ni détournement » ajoute le Petit Robert. Hypocrite et légale ambiguïté qui transforme l’honnête homme en mouton social, en bon citoyen. Ce à quoi le non citoyen Jacob Alexandre Marius (1879-1954), ex matricule 34777, peut répondre en 1932 : « Il y a une erreur, disons le mot, un mensonge capital. Celui-ci : la délinquance est l’exception, l’honnêteté la règle. » Lire le reste de cet article »

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Le beau voyage de l’Inco


jeudi 2 août 2018 par JMD

« Exagérer en bien, comme les organes commu­nistes de chez nous, et cacher le pire ainsi qu’ils le font, cela n’est pas révolutionnaire. Il faut voir les choses telles qu’elles sont, sans plus. »

Heureux qui comme Paul Roussenq (1885-1949) a fait un beau voyage … C’est peu dire que, durant l’entre-deux guerres, l’URSS fascine et interpelle tous les imaginaires politiques, chacun y trouvant son compte, y puisant un argumentaire partisan ou critique. Quoi de mieux alors pour se rendre à l’évidence que d’aller y faire un tour ? Le périple de Roussenq en 1933, à l’initiative du Secours Rouge International, a duré presque quatre mois. Son récit, publié deux ans plus tard aux éditions de La Défense, doit édifier le prolétariat français sur la grandeur de l’œuvre accomplie au pays des soviets ; il doit révéler que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Un monde dirigé par le meilleur des camarades qui soit et où le culte de la personnalité coïncide depuis 1929 avec le lancement du premier plan quinquennal. Mais on ne dupe pas une œil qui a vu l’horreur carcérale et coloniale. Le parti communiste réécrit Roussenq ? Mais l’ancien bagnard Roussenq est tenace, incorrigible, réfractaire à tous les totalitarismes. Roussenq l’anarchiste réécrit ses souvenirs du beau voyage à sa façon ! Cette seconde version, publiée dans le journal Terre Libre diffère quelque peu du dogme officiel en vigueur en URSS. Pour la première fois, les éditions de LA PIGNE proposent la réunion des deux textes du périple. Vous allez voir la construction du socialisme dans un seul pays. Vous allez voir aussi ses errements dont on sait aujourd’hui combien ils furent tragiques. très prochainement chez vous. Lire le reste de cet article »

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