Articles taggés avec ‘Marius Jacob’

L’odeur du sapin


dimanche 5 mai 2013 par JMD

Mortelle lupinose ou nécrologie lupinienne ? Les éphémérides, non contents d’alléger la roborative lecture de votre quotidien local, proposent, comme leur nom l’indique, un certain nombre d’informations pour égayer le commun, attaché à une hiérarchisation des faits dits sérieux comme la galette du  club de l’âge d’or à Girecourt sur Durbion, la visite de chantier de la nouvelle piscine de Sa Majesté le Maire de Saint Dié, le loto du club de badminton de la même cité ou encore la réunion annuelle des historiens des combats du col de la Chipotte pendant la 1e guerre mondiale. Le commun oubliera alors très très vite le renseignement savamment et drolatiquement distillée. Et c’est tant mieux car le fait révélé en deuxième ou dernière page, jouxtant généralement la rubrique météo, a valeur – outre ses aspects croustillants et amusants – de vérité absolue. La feuille peut ainsi abreuver à peu de frais et d’imagination son lectorat. A Vosges Matin, on ne s’embarrasse visiblement pas de vérifier de ce que l’on a honteusement pompé chez Wikicaca (voir notre article WIKI nimportnawak ou presque … en date du 28 octobre 2008) lorsque, en ce 28e jour du mois d’août 2012, on apprend la mort survenue cinquante-huit ans plus tôt de cet anarchiste illégaliste français. Cambrioleur ingénieux et doté du sens de l’humour, capable de grande générosité à l’égard de ses victimes, il sera un de modèles dont Maurice Leblanc s’inspirera pour créer … qui vous savez. La lupinose frappe aussi au pays où ça ne sent pourtant pas que le sapin.

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Bernard versus William


samedi 23 février 2013 par JMD

Jacob, tchou 1970Marius Jacob par William CaruchetContrairement à ce que l’on pourrait croire, Alain Sergent ne constitue pas forcément la référence principale et « obligée » de l’ensemble des articles, des émissions, des fictions télévisées, des bandes dessinées ayant l’honnête cambrioleur pour sujet. L’ouvrage, qui connaît un certain succès à sa sortie, est désormais quasiment introuvable, même sur les sites Internet de vente de livres d’occasion. Il a toutefois été réédité par les Editions Libertaires en 2005. C’est alors à deux autres auteurs de servir de certificat d’authenticité pour qui veut produire une œuvre sur l’anarchiste. Bien souvent, le détenteur du savoir, l’homme qui a vu l’homme qui a vu … Alexandre Jacob se targue d’être le seul à détenir les clés de la vérité, vraie et historique. L’opposition entre Bernard Thomas et William Caruchet a vite fait de tourner au conflit judiciaire. Lire le reste de cet article »

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Libre et propriétaire


dimanche 30 décembre 2012 par JMD

Claude et Marius 6

Sixième et dernier article consacré à Alexandre Jacob dans les colonnes de la Nouvelle République du Centre Ouest, pour vanter l’exposition Sur les traces de Marius Jacob qui se tient à Reuilly durant ce mois de juin 1993. Le papier, que nous avions déjà mis en ligne le 03 juin 2008, présente un homme libre. Outre les erreurs de dates (Jacob libéré de Fresnes en 1925 puis, quelques lignes plus bas, en 1928 !!!), nous pouvons nous arrêter sur l’anecdote de l’achat de la maison qui permet à Claude Nerrand, ancien militaire, devenu président de l’office du tourisme local de sous-tendre la faiblesse de l’anarchisme de Jacob : Le voilà propriétaire !. Effet de style certainement. Mais aussi méconnaissance totale d’un mouvement et d’une idée politique dont il entend se gausser. Lire le reste de cet article »

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Le temps des procès


samedi 24 novembre 2012 par JMD

Claude et Marius 4

On pourrait se lasser des écrits d’un ancien colonel narrant les péripéties d’un ennemi social. Le quatrième article de Claude Nerrand, paru dans La Nouvelle République du Centre Ouest le 19 juin 1993, fait se rencontrer chez Mme Bontemps, épicière à Reuilly, Maxime Baron et Marius Jacob. Le premier assura comme gendarme le transport sur le Loire des condamnés aux travaux forcés vers la Guyane. L’histoire du second est connue. Mais, ici, le président de l’office du tourisme de Reuilly commet l’imprudence de s’inspirer de la première biographie commise par Bernard Thomas en 1970 pour écrire son papier. De fait le forçat 34777 perd 300 points dans son numéro de matricule. Cela n’est rien bien sûr. Mais une réelle recherche en archives aurait permis d’éviter de se tromper de condamné au bagne. Cela n’est rien bien sûr même si la science historique a le souci de l’exactitude dans la narration. Il est ainsi intéressant de noter que le titre de l’article induit le lecteur dans l’erreur chronologique. Claude Nerrand va nous parler du bagne subi par Jacob pendant dix-neuf ans … et c’est la narration de l’extraordinaire procès d’Amiens (du 08 au 22 mars 1905) qui défile sous nos yeux éberlués. Lire le reste de cet article »

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Chef de bande


samedi 27 octobre 2012 par JMD

Claude et Marius 3

Le troisième article de la série consacrée à Alexandre Jacob parait le 12 juin 1993 dans la Nouvelle République du Centre Ouest. L’usage étant établi, Claude Nerrand, président de l’office du tourisme de Reuilly, utilise une anecdote locale pour introduire son sujet et, surtout, pour édifier son lectorat berrichon sur les cambriolages perpétrés par le chef de ces ouvriers de la révolution. Pas de vols « jacobiens » à Bois Saint Denis à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Juste quelques jeunes maquisards venus perquisitionner un vieux marchand forain. Ainsi commence la geste des Travailleurs de la Nuit selon saint Nerrand qui n’hésite pas à forcer le trait de la réalité, quitte à tomber dans l’apocryphe propos pour mieux faire l’inventaire de quelques-uns des coups fumeux d’une bande faisant de la reprise individuelle. Toute les belle histoires ayant une fin et celle-ci ne l’étant pas, il est dit que la morale doit rester sauve. Jacob est arrêté non loin d’Abbeville le 22 avril 1903, puis conduit en prison sous les cris d’une foule haineuse criant A l’eau !. La marée devait être haute, ce jour-là, en baie de Somme distante seulement d’une petite vingtaine de kilomètres. A Reuilly, où l’on peut goûter un délicieux rouge classé AOC, on a sûrement les pieds au sec. Lire le reste de cet article »

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Faut-il sauver le musée Jacob ?


dimanche 7 octobre 2012 par JMD

Reuilly ? Le gout d’un terroir à quinze kilomètres au sud de Vierzon … et pas vraiment l‘affluence à l’office du tourisme local. Pourtant la charmante et sympathique hôtesse, qui attend le chaland à la manière de nos braves soldats scrutant  désespérément en 1940 à l’intérieur des fortifications de la Ligne Maginot le retour de Pologne de l’armée ennemie, a vite fait de vous alpaguer, trop heureuse de pouvoir justifier son salaire de saisonnière, si par aventure, ou par inadvertance, alors que vous cherchiez une station essence, un supermarché, un Maquedo ou un lieu de civilisation en pleine cagnard estival, vous franchissez l’antre touristique renommée. Bien sûr, votre éducation vous interdit de fuir en courant les jambes à votre cou. La jolie demoiselle élevée à la tarte à la patate, au boudin et au blanc du coin (classé AOC depuis 1937 tout de même !) vous indiquera alors les salles attenantes transformées en musée des arts et traditions populaires et en musée du vin. Mais, comme la bougresse a senti que vous ne goutez guère les sabots, les outils et les lits d’antan et que vous préférez, de loin, voir le pinard dans votre verre plutôt que dans un musée, elle vous vantera le nouveau consacré à la gloire locale qui, toutefois, n’est pas du cru. Lire le reste de cet article »

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Et l’innocent devint anarchiste


samedi 29 septembre 2012 par JMD

Claude et Marius 2

Le 09 juin 1993 parait, dans les colonnes de La Nouvelle République du Centre Ouest, le deuxième article de Claude Nerrand consacré à Alexandre Jacob. Le papier est accompagné d’une photographie de l’exposition qui se tient tout au long du mois dans le village berrichon sur ce personnage sur qui ont couru de nombreuses légendes. Ainsi pouvons-nous admirer, au premier plan et négligemment posés sur un guéridon, une canne, une cape et deux chapeaux melon. L’article ne dit pas si le visiteur doit faire un quelconque rapprochement avec Arsène Lupin. L’ancien colonel, en revanche, introduit son propos par un mythe édifié en vérité locale absolue. L’ancien marin, l’ancien voleur (qui n’hésite pas à confier ses anecdotes de cambrioleur à son garagiste), l’ancien bagnard aimait se reposer, chez lui à Bois Saint Denis, dans un hamac. Souvenir de ses années de navigation. Les légendes ont la peau dure. Lire le reste de cet article »

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Alexandre Jacob a son musée


mardi 25 septembre 2012 par JMD

C’est vrai qu’ils sont plaisants tous ces petits villages, tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités. A Reuilly dans l’Indre, lorsqu’il ne se passe rien, même s’il paraitrait que ce serait pour cette honorable raison qu’un voleur à la retraite vint s’installer, de bonnes âmes font en sorte de créer l’évènement. Mais l’évènement sent le réchauffé. Café bouillu, café foutu. La presse a relaté l’exposition Jacob en 1993. Elle a narré l’ouverture de l’impasse Jacob en 2004. Comme une suite logique, elle ne pouvait manquer celle du musée consacré à la gloire locale … qui n’est pourtant pas du cru. Car celui qu’on a parfois pris pour un héros était un bandit anarchiste ! Lire le reste de cet article »

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Demandez le programme !


vendredi 31 août 2012 par JMD

Reprendre le collier ? Serviettes, ballons, et autres accessoires de plage ont été remisés au placard des souvenirs estivaux. Dans la perspective d’une fin du monde annoncée il y a fort longtemps par des précolombiens ayant abusé de la coca, une autre fragrance, une autre angoisse, une autre soumission, rythmée par le méchant bruit de la pointeuse,  va venir confirmer le propos tenu 107 ans plus tôt par un honnête cambrioleur devant le jury populaire du tribunal bourgeois chargé de lui faire expier ses atteintes à la sacro-sainte propriété : l’homme ne peut même pas se passer de travailler ; ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. Le jacoblog poursuit sa route et le chemin qui nous emmène, après quelques honnêtes devoirs de vacances, vers la fin de l’année n’est bien sûr pavé que de bonnes intentions … et de papiers sur l’illégalisme, le bagne et la vie d’un honnête marchand forain pas si reclus que cela dans sa bicoque berrichonne. La preuve dans le programme qui suit. Lire le reste de cet article »

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Claude et Marius : jeunesse


samedi 23 juin 2012 par JMD

Claude Nerrand nous invite en juin 1993 à la découverte de Marius Jacob.  Le président de l’office du tourisme de Reuilly organise en effet en cette fin de printemps berrichon une exposition consacrée à la gloire locale, mais néanmoins méconnu du commun. L’ancien colonel a effectué quelques recherches – une lettre envoyée aux archives municipales de Marseille – lu quelques livres et recueilli les témoignages des locaux (surtout ceux de ses « vrais » amis). Pour faire venir le chaland, il donne une série de six articles sur la célébrité de Bois Saint Denis dans les colonnes de La Nouvelle République du Centre Ouest. Dans un style simple, souvent simpliste et naïf, le biographe en herbe dresse alors le portrait d’un aventurier finissant dans pays où il ne se passe rien et que lui cherche à dynamiser. Lire le reste de cet article »

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Barbare lupinose


mercredi 9 mai 2012 par JMD

La blogosphère est un terrain propice à la lupinose. Une étendue incommensurable pour une pandémie d’une profondeur abyssale. Nous savions nos amis nippons friands du gentleman cambrioleur imaginé par Maurice Leblanc. Le manga Détective Conan parait au pays du soleil levant en 1994 ; il devient vite un dessin animé dont raffolent à l’époque les jeunes têtes blondes devant leurs écrans de télévision. Le détective Conan tire son nom du créateur de Sherlock Holmes. Le héros, jeune adolescent (Shinishi Kudô) se transformant en petit enfant (Conan Edogawa), résout au fil des épisodes nombres d’intrigues policières. Son créateur, Gosho Aoyama, se serait inspiré, nous dit le site internet consacré au fameux privé japonais, de l’écrivain normand pour créer le personnage de Ran Mouri et ainsi lui rendre hommage. Seulement, on apprend dans cette fenêtre du web que le père d’Arsène Lupin aurait fortement été influencé par un extrémiste gauchiste, expert en cambriolage ! La barbare lupinose s’internationalise. Sayonara. Lire le reste de cet article »

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Tout faux tout flamme


dimanche 6 mai 2012 par JMD

C’est bien connu et c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale. Le 28 novembre 2011, à 8h50, sur la station de radio référent en matière de culture, et après avoir reçu l’actuel secrétaire général d’un obscur parti bleu – brun, un certain Jean-François Coppé, le chroniqueur littéraire François Angelier semble s’amuser du parallèle avec son texte présentant la réédition des Travailleurs de la Nuit chez L’Insomniaque. Evoquer un génial voleur après l’entretien avec l’ancien ministre du budget de Chirac de 2004 à 2007, cela revêt effectivement tous les semblants de la causticité. Seulement, en voulant exhiber sa science et sa verve, François Angelier nous donne en sept petites minutes un véritable festival international de lupinose où à la prétention vient s’ajouter une réelle bienveillance pour l’anachronisme. Jacob, né en 1869, est arrêté en 1901, puis condamné à 20 ans de travaux forcés ! A France Inculture, on s’embarrasse encore moins de précision : Alexandre Jacob cambriolait, Marius Jacob vendait des articles de bonneterie sur les marchés et foires du Berry. Une variante sans importance fort probablement. Décidément, moins on en a, plus on l’étale et moins on remarque que l’honnête cambrioleur n’est pas Arsène Lupin ! Lire le reste de cet article »

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Vrai Lupin et faux semblant à Libé


vendredi 4 mai 2012 par JMD

Un gros dessin, un tout petit texte et cela suffit. Le titre de l’article lui-même, écrit en très gros pour ceux qui aurait du mal à comprendre, permet au jacoblogueur initié de saisir la très forte affliction qui touche son auteur Fabrice Drouzy : Arsène Lupin, le vrai. Vite lu, vite consommé, vite digéré. Peut-être s’agit-il d’une conception originale propre aux pages culturelles de Libération. L’article est paru le 25 février dernier et rend compte de la parution de l’ouvrage à caractère biographique signé par Jacques Colombat, cinéaste de son état et qui aurait mieux fait de le rester. On en reparlera en septembre. Mais à Libé, la vie de Marius Jacob qui inspira la fiction de Maurice Leblanc permet aussi de gloser sur le ridicule rapport historique de l’anarchiste à la violence. Lire le reste de cet article »

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Marius et l’illégalisme


dimanche 29 avril 2012 par JMD

A Reuilly, \La revue Solidarité met Marius Jacob dans une espèce d’impasse dialectique. Pouvons-nous reprocher à un article sur Marius Jacob et l’illégalisme le fait de s’appuyer en 2006 sur les biographies existantes  à l’époque ? Certes non. On peut toutefois relever le manque de recul face aux extraordinaires aventures du voleur Jacob développées dans les dits ouvrages à prétention historique. Dommageable est cette perspective parce qu’elle nuit à l’intéressante interprétation des actes que produit en deuxième partie le papier paru dans le n°26 de la revue trimestrielle Solidarité du SIA de Caen en novembre 2006. L’analyse ouvre un débat : celui de la pertinence du vol comme acte révolutionnaire. Elle le clôt hélas aussi : ce ne serait qu’un moyen parmi tant d’autres. Lire le reste de cet article »

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Marius Jacob : la pochette de 45 tours


samedi 31 mars 2012 par JMD

L’acéphale culture consumériste nous abreuve continuellement, et depuis belle lurette, d’insipides tranches de vie musicale où l’amour rimerait avec toujours, topinambour et plat au four. La nouveauté a constamment le goût du prémâché et, quand à l’Ouest, à l’Est, au Nord et au Sud, surtout à l’Ouest quand même, il n’y a rien de nouveau sous le sunlight des tropiques, les radios FM s’évertuent à nous balancer les tubes des soi-disant mythiques années 1980. On nous parle alors d’un temps que ceux de vingt ans ne peuvent pas connaître mais qu’ils peuvent consommer. Qui, honteux après coup, ne s’est pas surpris à siffloter les bêtifiants refrains de Désireless, d’Image ou encore de Partenaires Particuliers, en tortillant du croupion comme si l’on se tenait raide, mais sautillant, derrière son synthétiseur ? Nous ne savons pas si la chanson De comptoirs en comptoirs correspond aux canons musicaux de l’époque. Nous ne savons pas non plus la teneur tu texte chanté. Toujours est-il que la pochette du vinyle, datant de 1988, que nous a numérisé et transmis un copain jacoblogueur (merci Rémi) a de quoi nous interpeler. Lire le reste de cet article »

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