Articles taggés avec ‘Père Peinard’

Dix questions à … Fortuné Henry


samedi 28 février 2015 par JMD

Fortuné Henry est né à Limeil-Brévannes (Seine et Oise) le 21 août 1869. Fortuné Henry est un pseudonyme. Fortuné Henry est un chercheur, un fouilleur de documents, un de ces passionnés dont l’excellence du travail et la qualité des investigations finissent par éclairer l’histoire du mouvement libertaire français. Nous ne comptons plus au Jacoblog le nombre de fois où ses remarques, ses critiques et les renseignements qu’il a pu nous fournir nous ont apportés une aide des plus précieuses. Fortuné Henry est historien et ne souffre pas de lupinose. Il a bien voulu répondre ici à nos dix questions, porter son regard sur l’illégalisme et la propagande par le fait, et expliquer le travail par lui effectué dans les différents services d’archives de France et de Navarre car sans source point d’histoire. Lire le reste de cet article »

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La chanson anarchiste de la période héroïque


samedi 4 octobre 2014 par JMD

Dans Libres ! Toujours … paru en 2011 à l’Atelier de Création Libertaire, Gaetano Manfredonia présente une anthologie de la chanson et de la poésie anarchistes du XIXe siècle. Il nous a paru intéressant d’en diffuser quelques extraits dans les colonnes du Jacoblog pour au moins deux raisons. L’historien, qui nous a autorisé cette mise en ligne – un grand merci à lui ! -, ne manque tout d’abord pas de signaler que la chanson fait partie intégrante de la propagande. A ce titre, les complaintes, airs, sérénades, et autres ritournelles, dont nous reproduirons les textes très prochainement, ont forcément nourri l’idéal et la pensée d’un militant illégaliste tel qu’Alexandre Jacob. On regrettera d’ailleurs de ne pas trouver dans cet excellent ouvrage les textes de Clarenson ou de Pélissard qui, en 1905, avaient été publiés dans Germinal. Mais Gaetano Manfredonia n’oublie pas de s’attarder dans son chapitre 7 sur les productions des Terroristes, illégalistes et trimardeurs. Ainsi, de 1880 à 1894, la chanson anarchiste de la période héroïque tend à se singulariser du répertoire socialiste, pris dans son acception la plus large. L’auteur nous montre de fait que, si l’on chante encore la Carmagnole dans les rangs libertaires, de plus en plus les refrains de la muse antiautoritaire mettent en avant le drapeau noir et dame dynamite. Lire le reste de cet article »

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