Articles taggés avec ‘Olivier Souêtre’

La Marianne


jeudi 1 janvier 2015 par JMD

La Marianne

Paroles d’Olivier Souêtre, musique de Léon Trafiers. Publiée sans non d’auteur par F. Brunel dans sa série de chansons « à cinq centimes » sans musique, Paris, impr. Brunel, [1893].

in Gaetano Manfredonia, Libres ! Toujours …, Atelier de Création Libertaire, 2011, p.70

REFRAIN

Va, va, Marianne,

Pour en finir avec les ennemis,

Sonne, sonne la diane

Aux endormis ! (bis) Lire le reste de cet article »

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Dans les soirées familiales anarchistes


samedi 1 novembre 2014 par JMD

Gaetano Manfredonia

Libres ! Toujours …

Atelier de Création Libertaire, Lyon, 2011

NDJ : les chansons citées par l’auteur seront mises en ligne en janvier 2015 dans le cadre du mois de la chanson du Jacoblog. Le chapitre 5 de cet excellent livre permet de saisir les acquis culturel d’Alexandre Jacob lorsqu’à Marseille ou ailleurs il fréquentait les cercles anarchistes.

Chapitre 5, p.67-69

Ce que chantaient les compagnons dans leurs soirées familiales

La portée propagandiste que les compagnons attribuent à leurs compositions ne saurait faire oublier pour autant leur dimension ludique. Si l’on chante dans la rue à l’occasion d’une grève ou lors d’une manifestation, c’est d’abord dans le cadre beaucoup plus intimiste des soirées familiales, bals, tombolas ou commémorations diverses que les anarchistes proposaient très fréquemment, que la chanson était reine. Lire le reste de cet article »

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La chanson anarchiste de la période héroïque


samedi 4 octobre 2014 par JMD

Dans Libres ! Toujours … paru en 2011 à l’Atelier de Création Libertaire, Gaetano Manfredonia présente une anthologie de la chanson et de la poésie anarchistes du XIXe siècle. Il nous a paru intéressant d’en diffuser quelques extraits dans les colonnes du Jacoblog pour au moins deux raisons. L’historien, qui nous a autorisé cette mise en ligne – un grand merci à lui ! -, ne manque tout d’abord pas de signaler que la chanson fait partie intégrante de la propagande. A ce titre, les complaintes, airs, sérénades, et autres ritournelles, dont nous reproduirons les textes très prochainement, ont forcément nourri l’idéal et la pensée d’un militant illégaliste tel qu’Alexandre Jacob. On regrettera d’ailleurs de ne pas trouver dans cet excellent ouvrage les textes de Clarenson ou de Pélissard qui, en 1905, avaient été publiés dans Germinal. Mais Gaetano Manfredonia n’oublie pas de s’attarder dans son chapitre 7 sur les productions des Terroristes, illégalistes et trimardeurs. Ainsi, de 1880 à 1894, la chanson anarchiste de la période héroïque tend à se singulariser du répertoire socialiste, pris dans son acception la plus large. L’auteur nous montre de fait que, si l’on chante encore la Carmagnole dans les rangs libertaires, de plus en plus les refrains de la muse antiautoritaire mettent en avant le drapeau noir et dame dynamite. Lire le reste de cet article »

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