Articles taggés avec ‘Nerrand’

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mercredi 3 septembre 2008 par JMD

Jacob Louvelle Bab et l\'honnête cambrioleur Les premières de couverture ont pour fonction d’attirer l’œil du lecteur potentiel et d’illustrer le propos de l’auteur et de son sujet. Force est de constater, pour certaines d’entre elles, la prégnance du mythe lupinien quand il s’agit de Jacob. C’est vrai qu’il est aussi question de vente. Un grand merci en revanche à Romain Louvel, chez qui on ne trouve pas ce type de préoccupation, pour avoir dessiné celle de l’honnête cambrioleur. Lire le reste de cet article »

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Le BERRY MAGAZINE ne désarme toujours pas


vendredi 15 août 2008 par JMD

Berry Magazine, n°86Le n°85 du Berry Magazine (avril, mai, juin 2008) nous a permis de constater que les mythes ont la vie dure. De toute évidence, l’auteur des deux articles consacrés à Alexandre Jacob et à Claude Nerrand, à moins que ce ne soit sa très « hiérarchique » direction, n’a pas très bien compris le sens des mots critique, historiographie et analyse, leur préférant en réponse à la notre le terme de « sérieusement orienté » pour qualifier notre étude de ces deux articles, qu’il trouve pourtant « intéressante ». Lire le reste de cet article »

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Le voilà propriétaire !


mardi 3 juin 2008 par JMD

Marius et Paulette heureux propriétaires selon C Nerrandla maison du propriétaire JacobLa Nouvelle République du Centre Ouest

25 juin 1993

A la découverte de Marius Jacob

La fin d’un aventurier

Marius Jacob sort libre de Fresnes en 1928. Il se suicide en 1954, à Bois Saint Denis. Récit de la fin de sa vie. Lire le reste de cet article »

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Le cimetière de Reuilly


jeudi 22 mai 2008 par JMD

pancarte Arsène Lupinpancarte Marius JacobQuoi de plus banal qu’un cimetière à la sortie d’un village, enserrant entre ses quatre murs ses indigènes morts pour la patrie ou morts pour rien ? A Reuilly pourtant, le boulevard des allongés constitue l’attraction touristique principale. C’est là que repose le célèbre aventurier, peut-être Arsène Lupin, devenu récemment prince des voleurs  pour la presse locale. Lire le reste de cet article »

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Sur les pas de Marius Jacob : Claude Nerrand


lundi 12 mai 2008 par JMD

La Marseillaise 5 avril 2001La presse berrichonne n’a pas manqué bien sûr de relater cet évènement reuillois que fut notre rencontre avec le président de l’office du tourisme de ce petit village riant, au bord de l’Arnon, à la fin du mois de mars 2001 (Voir le papier de La marseillaise du Berry à la fin de cet article). Claude Nerrand nous a confié un carton de papiers relatifs à Marius Jacob. Il s’agissait de recherches que l’ancien lieutenant-colonel avait effectuées pour les besoins de l’exposition qu’il a monté sur l’anarchiste, considéré alors comme un vieil homme tranquille. Si ce dossier, constitué en 1993,  n’est pas fondamental pour la connaissance de l’illégaliste, il contient certaines informations intéressantes sur la fin de sa vie, sur le rapport ambigu et mythique avec Arsène Lupin mais aussi sur la famille du vieux marchand forain de Bois Saint Denis. Lire le reste de cet article »

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le BERRY MAGAZINE ne désarme pas


mardi 6 mai 2008 par JMD

BERRY MAGAZINE printemps 2008Il y a peu, nous posions la question des rapports entre le hasard et l’attachement de la presse berrichonne au personnage de Reuilly. Voir la rubrique : produits dérivés. Mythe ? Légende ? Réalité ? C’est ce que se demande Sébastien Drouet dans un long article consacré à ce « héros » qui ne fut ni Arsène Lupin ni Marius Jacob. La preuve en est, nous dit le journaliste du Berry Magazine (n°85, avril, mai et juin 2008) que le vieux marchand forain « devant la gendarmerie (…) changeait de trottoir ». Donc, dans ce papier, Marius Jacob de Reuilly, revêt une fois des plus les habits ordinaires de l’homme tranquille qui aurait quelque chose à se reprocher. Rajoutons également un peu couard face à l’autorité instituée. Lire le reste de cet article »

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L’article du journal local


mercredi 23 avril 2008 par JMD

La Nouvelle République du 20 avril 2008Régulièrement la presse berrichonne édifie son lectorat, à l’occasion d’un évènement local, régional ou national, sur les terribles, extraordinaires, cocasses, aventureuses aventures de Marius Jacob. Dans le coin on dit Marius car, lorsqu’il s’y installe,  c’est le prénom (son deuxième à l’état civil) qu’Alexandre utilisait sur son barnum pour vendre sa bonneterie sur les foires et marchés du Val de Loire. Extraordinaires, cocasses, terribles, aventureuses. Mais en règle générale, la réalité historique s’efface le plus souvent devant un imaginaire considéré comme plus sympathique ou comme plus acceptable parce que politiquement correct.  Nous ne savons pas s’il s’agit d’un hasard, celui qui fait parfois bien les choses, mais les papiers sur Marius fleurissent comme les soldats de Badinguet tombaient à Gravelotte. Lire le reste de cet article »

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Interview de CLAUDE NERRAND


jeudi 10 avril 2008 par JMD

Président du syndicat d’initiative de Reuilly (Indre, 36),

Fait à Reuilly le 03 avril 2001

Claude Nerrand dans son repaire rueillois

NERRAND : Dans l’environnement, que moi j’ai cherché, en fait le premier qui est venu me voir c’est donc Denizeau, un monsieur très gentil mais maintenant très âgé. Il a des difficultés à se déplacer mais il vient quand même régulièrement sur la tombe de Marius Jacob. C’est d’ailleurs lui qui a payé la nouvelle car l’ancienne a gelé, il y a deux ans. C’est lui qui en sait le plus parce que c’est lui qui a été un des héritiers de Marius Jacob. Il avait acheté la maison de Jacob avant qu’il ne meure. Lire le reste de cet article »

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Jacob dans l’impasse


mercredi 9 avril 2008 par JMD

DE LA REPRISE NON-INDIVIDUELLE

ET A DES FINS COMMERCIALES D’UN MEC BIEN

A Reuilly, \

Samedi 23 octobre 2004. Reuilly. 15 km au Sud de Vierzon. Un trou du cul du monde parmi tant d’autre. 17h15. Claude Nerrand, président de l’office du tourisme local, et Patrick Bertrand, adjoint au maire d’une commune sans étiquette et pourtant renommée pour son gros rouge qui tache, dévoilent une plaque de rue. Assistance peu nombreuse. L’impasse porte désormais le nom de Marius Jacob.

La mode est à la commémoration. Argument facile et publicitaire. Il y a 60 balais, les tommies nous libéraient des sicaires de tonton Adolf. Les étals des marchands du temple de la culture regorgent de bouquins sur l’événement. Il y 50 piges « le dernier des grands voleurs anarchistes » (dixit le Dictionnaire Biographique du Mouvement Ouvrier Français de Jean Maitron) se donnait la mort par injection de morphine et par inhalation de gaz carbonique dans sa maison du hameau de Bois Saint Denis à Reuilly, petit village berrychon. Lire le reste de cet article »

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