Articles taggés avec ‘Jules Clarenson’

Fou ou dynamiteur ? Jules Clarenson


samedi 21 mars 2015 par JMD

Jules Clarenson se fait remarquer une première fois en 1884. Il a 17 ans. Le 20 décembre de  cette année, la cour d’assises de la Gironde le condamne à trois ans d’emprisonnement pour vol et tentative d’homicide sur l’agent de police Reffort. Il obtient une remise de peine de six mois, le 6 avril 1886, mais est arrêté un an plus tard pour son appartenance à une bande de cambrioleurs bordelais officiant des Landes jusqu’à la Dordogne. L’affaire porte sur un cambriolage commis dans une propriété de la famille Yquem dans le quartier de Bordeaux Bastide. Mais Clarenson s’évade après avoir asséné de violents coups de poing aux deux policiers qui le conduisaient au palais de justice. Lire le reste de cet article »

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La cellule


dimanche 24 avril 2011 par JMD

A l’occasion de la sortie des Ecrits de Jacob en 1995, l’orchestre Les crabes à la Mer (allusion fort probable à la chanson Cayenne de Parabellum, le crabe désignant dans l’argot le gardien de prison) a enregistré, pour la première fois depuis sa création, la chanson La Cellule qu’avait publiée Germinal, le journal anarchiste d’Amiens, dans son numéro 14 en date du 23 avril au 07 mai 1905. Le procès des travailleurs de la Nuit est clos depuis environ un mois. Jules Clarenson, l’auteur du texte et, complice de l’honnête cambrioleur pour le fameux coup de la rue Quincampoix (06 octobre 1901), y a été condamné à cinq ans de travaux forcés, peine ramenée par la cour d’assises de Laon le 1er octobre de cette année à cinq ans de réclusion assortis de la relégation. Lire le reste de cet article »

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Une réunion de Travailleurs


samedi 29 janvier 2011 par JMD

Aussi fictive et improbable qu’elle eût pu être, cette réunion des Travailleurs de la Nuit, jouée par quelques-uns des Insomniaques ne manque pas pour autant d’intérêt. Comme l’indique la maison d’édition dans le mini livret de présentation du premier des deux cd accompagnant les Ecrits de Jacob, version 1995, « les éléments qu’elle révèle sont inspirés de ce que Jacob a raconté à Alain Sergent et des textes de Pélissard, Clarenson et Baudy que le journal Germinal fit paraître en 1905 » (on trouvera l’ensemble de ces textes dans les colonnes de ce blog). Lire le reste de cet article »

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Fou !


samedi 17 janvier 2009 par JMD

Asile Mont Perrin, Aix en ProvenceLa folie d’Alexandre Jacob est un leurre. De retour d’Italie, il est arrêté à Toulon le 29 juin 1899. Cinq jours plus tard, le commissariat spécial de Marseille signale une interpellation en compagnie de « son complice Roch Arthur, dangereux repris de justice sorti de la prison Saint Pierre il y a 3 à 4 mois environ ». A cette date le compagnon de vol du jeune anarchiste, et complice dans le cambriolage du Mont de Piété de cette ville, 31 mars 1899, se trouve à Vichy, où il a loué une maison depuis le mois de mai. Lire le reste de cet article »

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