Articles taggés avec ‘Emile Loubet’

Vive la Ré… !


samedi 25 février 2017 par JMD

Antoine Cyvoct. Premier martyr de l’anarchie. Condamné à mort en 1883 puis, gracié, aux travaux forcés à perpétuité. Il a toujours crié son innocence dans l’attentat du restaurant L’Assommoir du théâtre Bellecourt à Lyon le 22 octobre de l’année précédente. 14 ans en Nouvelle Calédonie. Il revient de l’enfer du bagne en 1898 et est accueilli à Marseille par Sébastien Faure, quelques membre de l’équipe du Libertaire … et Alexandre Jacob. Laurent Gallet, a narré cette rencontre il y a quelque temps dans les colonnes du Jacoblog et livré en 2015 dans Machinations et artifices, paru à l’Atelier de Création Libertaire, une incroyable narration de l’histoire de Cyvoct à la suite d’un impressionnant travail de recherche. Et cette quête heuristique se poursuit encore … pour notre plus grand plaisir. Qu’est devenu Cyvoct après son retour ? C’est à Paris, dans l’effervescence de l’affaire Dreyfus, que nous le retrouvons à battre le pavé aux côtés de Charles Malato et d’Urbain Gohier et en train de crier  Vive la Ré… Lire le reste de cet article »

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (7 votes, moyenne: 5,00 sur 5)
Loading...

Panorama de 1903 première


samedi 3 mai 2014 par JMD

NDLR : la nuit du 21 au 22 avril 1903, n’apparait pas dans ce panorama de la revue Gavroche qui permet de contextualiser l’histoire de l’honnête cambrioleur. Ce jour-là,  Echec du cambriolage Tilloloy à Abbeville; «drame» de Pontrémy, l’agent Pruvost est tué par Félix Bour, Jacob est arrêté à Airaisne. Pélissard à Pquigny ;  la bande dite d’Abbeville est progressivement démantelée, le juge Hatté mène l’instruction.

Gavroche n°8, février – mars 1983

Panorama de 1903

La république des radicaux.

Cette année-là, Loubet est Président de la République, dans une Europe qui ne compte que des royaumes. Le radical Emile Combes, porté au pouvoir en 1902[1], à la suite des élections qui avaient vu la victoire de la gauche (Radicaux et Socialistes), poursuit la politique menée par son prédécesseur Wal­deck Rousseau[2], avec l’appui des Socialis­tes. D’ailleurs, dès le 13 janvier, la Chambre élit, parmi ses 4 vice-présidents, un grand tribun, le socialiste Jean Jaurès[3]. Lire le reste de cet article »

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (7 votes, moyenne: 5,00 sur 5)
Loading...
  • Pour rester connecté

    Entrez votre adresse email

  • Étiquettes

  • Archives

  • Menus


  • Alexandre Jacob, l'honnête cambrioleur