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Moche Lupinose


vendredi 6 juin 2014 par JMD

Joël lit des livres et fréquente les salons du polar ; il rencontre plein d’auteurs dont certains ont « vraiment travaillé » leur dernier bouquin.  Joël  a même aimé Attila et la magie blanche de Gilles Del Pappas. Il nous en parle dans son blog avec une certaine ferveur … et plein de fautes d’orthographe  L’ouvrage adoré de Joël, involontairement pour adolescent en mal de quête du Saint Graal, présente un bien étrange et pourtant bien réel personnage. L’auteur d’ailleurs prend soin en préface de se prévenir d’une très improbable accusation de lupinose galopante et d’envoyer aux orties « les experts de tous poils lisant ces aventures à d’autres fins que de s’en régaler simplement ». Nous avions, à l’époque, suivi le conseil … et Joël a fait de même. Lui a aimé. Pas nous. C’est moche. Ça sent tant la lupinose que l’on comprend, en refermant la chose avec des pages, ladite et vindicative préface. Joël a vu l’homme qui a imaginé Jacob mangeant sur un transatlantique à la même table qu’un certain Maurice Leblanc. Mais le livre est aussi long qu’un voyage entre le Vieux et le Nouveau Monde. Joël n’a pas eu le mal de mer en lisant le houleux périple. Nous ne l’avons pas vraiment digéré. C’est drôlement moche. C’est une moche lupinose. Lire le reste de cet article »

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Attila et la magie blanche


samedi 22 octobre 2011 par JMD

Attila aime la magie blanche et nous n’y trouvons rien à redire. Le livre de Gilles del Pappas s’ouvre pourtant sur un singulier avertissement. Il n’aurait pas voulu, selon ses dires, écrire une énième biographie de l’honnête cambrioleur. Logique, l’auteur est un prolixe faiseur d’histoires délaissant ici Constantin le grec pour l’illégaliste Jacob. Ou plutôt pour Marius le Marseillais. Mais, alors, pourquoi, dans cette longue préface, prend-il le soin d’expliquer au béotien lectorat ce que furent le capitalisme triomphant de la belle Epoque, l’anarchisme et le banditisme social ? Pourquoi déclamer son amour du septième art, de cette magie blanche naissante qu’il nous fait découvrir par le prisme d’un ingénieux et intrépide voleur ? Pourquoi, enfin, se prévenir d’une très improbable accusation de lupinose galopante et envoyer aux orties « les experts de tous poils lisant ces aventures à d’autres fins que de s’en régaler simplement » ? Lire le reste de cet article »

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