A-phroismes d’août (17)


Je vous quitte sans désespoir, le sourire aux lèvres, la paix dans le cœur. Vous êtes trop jeunes pour pouvoir apprécier le plaisir qu’il y a de partir en bonne santé, en faisant la nique à toutes ces infirmités qui guettent la vieillesse. Elles sont là, réunies ces salopes, prêtes à me dévorer.

Lettre à Guy Denizeau, 17 août 1954

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Cet article de JMD a été publié le lundi 17 août 2009 à 6:21 et est classé dans Aphorismes. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou faire un trackback depuis votre propre site.

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