Aphorismes du bagnard


Si je me laisse chiper par la paresse, je vais tomber dans l’aquoibonisme, et alors, adioù botto, je suis fichu. Si c’est pour vivre à la manière d’un poulpe ou d’une pastèque, cela n’en vaut guère la peine. Autant s’endormir du dernier sommeil.

Lettre à Marie Jacob, 11 février 1913

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