Aphorismes d’un été jacobien


Les plus grandes douleurs ne peuvent pas durer plus que la vie : c’est dire leur inutilité
Lettre à Marie Jacob, île du Salut, 20 octobre 1914

Aujourd’hui, dimanche 28 août 2016, Jacob Alexandre Marius se donnait la mort dans sa maison du hameau de Bois Saint Denis à Reuilly (Indre) il y a soixante-deux ans

Tags: , , , , , , ,

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles (3 votes, moyenne: 5,00 sur 5)
Loading...

Imprimer cet article Imprimer cet article

Envoyer par mail Envoyer par mail


2 commentaires pour “Aphorismes d’un été jacobien”

  1. Nono Billy dit :

    Respectueux hommages pour Alexandre Marius, un des seuls hommes qui mérite notre admiration. Un des seuls hommes, tout court.

    Nono

  2. JMD dit :

    Le but des aphorismes est de montrer qu’un militant illégaliste peut aussi se faire philosophe à ses heures mais encore théoricien politique, ce qui a souvent été nié pour les propagandistes par le fait

Laisser un commentaire

  • Pour rester connecté

    Entrez votre adresse email

  • Étiquettes

  • Archives

  • Menus


  • Alexandre Jacob, l'honnête cambrioleur