On « cause » de nos publications dans la presse, sur Internet et un peu partout
Un livre pour mieux comprendre Isabelle Felici, originaire de Russange et aujourd’hui professeure en études italiennes à l’université Paul-Valéry de Montpellier 3, vient de traduire de l’italien l’ouvrage Indios sans roi, rencontres avec des femmes et des hommes au Chiapas, sorti aux éditions Atelier de création libertaire. Une intéressante immersion dans les communautés zapatistes qui permet d’en comprendre les idées et le fonctionnement. Connaissiez-vous (...)
« Brisez vos barrières mentales ! » (http://deladesobeissance.fr/2017/07/28/brisez-vos-barrieres-mentales/) Max Leroy, dans un livre, nous raconte comment une petite fille juive d’origine modeste, née dans un port fluvial de Lituanie, au milieu des terres, très loin de la mer Baltique, devint la militante internationalement respectée qui, avec éloquence, clama sa révolte et son enthousiasme libertaire dans les États-Unis d’alors. Il s’agit d’Emma Goldman (...)
Depuis quelques années, l’Atelier de création libertaire a la bonne idée de proposer dans son catalogue une collection « critique de l’économie », composée de courts ouvrages explorant des pistes actuelles pour sortir du capitalisme. Dominique Lachosme, connu des lecteurs du mensuel la Décroissance pour ses chroniques économiques et écologiques empreintes d’une belle lucidité, met ici son talent pédagogique au service d’un démontage élémentaire du « catéchisme (...)
Nos ami.e.s de http://www.sicilialibertaria.it/ ont traduit le livre d’Octavio Alberola en italien.
« Accomplir des rituels et se donner des noms différents aux communs. lire des œuvres d’auteurs anarchistes. assister de manière routinière aux réunions et meetings anarchistes et se prétendre anarchiste. Ce n’est pas la preuve de l’être […]. Convertir l’anarchisme en une routine, une habitude triviale, qu’on n’extériorise que certains jours et dans une intimité sectaire où on parle beaucoup de révolution, mais on ne fait rien pour la faire, (...)
C’est ce qu’affirme péremptoirement quelqu’un de relativement averti mais que l’anarchisme dérange ; c’est quand même l’opinion la plus courante que les médias se font un plaisir de ne pas démentir. En outre, des anarchistes eux-mêmes se complaisent assez bien à entretenir cette image. Cette propension à la violence ainsi affirmée, on en retrouvera une description dans un mémoire soutenu en 1954 par un étudiant en lettres qui ne connaissait rien à (...)
Copinage Notre éminent chroniqueur Dominique Lachosme sort une brochure Pour une démocratie - En finir avec les actionnaires et les banquiers. Voila un titre qui fera tousser les alter-économistes qui nous bassinent avec leurs petites taxations du capital, leur « revenu de soumission généralisée » ou leurs monnaies alternatives. Lachosme revient sur les fondamentaux : qu’est-ce que le mode de production capitaliste ? Comment se fait-il que les choix qui déterminent l’évolution (...)
L’anarchisme au pays des pasteurs et des provos Cet ouvrage de Thom Holterlman comble une grande lacune, celle de notre méconnaissance du mouvement anarchiste hollandais. Il nous permet de découvrir en quelque 130 pages les constantes, les organisations et les forces des libertaires du pays des polders. Mouvement libertaire qui, au-delà de grandes figures évoquées dans l’ouvrage comme Domela-Nieuwenhuis, Lehning ou encore les provos des armées 1970, est ici quasi inconnu, (...)
En prolongement à Indignez-vous !, l’essai de Stéphane Hessel dont le succès inattendu fut remarquable (plusieurs millions d’exemplaires), un « indigné », porte-voix anonyme, lance un Révoltez-vous ! qui exhume l’histoire des rébellions singulières et des effervescences plurielles ayant épousé les contours de l’anarchisme politique : autant de refus nourris des multiples raisons de la colère. Mais la révolte est aussi germe prodigue qui propose et affirme, « fût-ce (...)
Ce roman politique dénonce les connivences des élus avec certains groupes alimentaires. Quand des contrats portent sur des centaines de milliers d’euros, il est mortel de vouloir défendre le biologique et l’équitable et de changer la donne. Telle est en substance la trame de ce polar rédigé par une ancienne élue de la ville de Lyon. Cet ouvrage est édité en sa mémoire, ce qui explique certaines imperfections, Guylaine Govza n’ayant pas eu le temps de peaufiner son roman. (...)