Sur nos pentes il se passe toujours un truc… au CSA (Centre social autogéré, 18 rue des Tables Claudiennes), vendredi 13, une petite bouffe de quartier a soulevé la poudre des yeux, et le lendemain, samedi 14, un apéro-dinatoire-de-printemps nous faisait déjà saliver en pensant aux prochains repas de quartier et espace de gratuité de la place Colbert…
Réservez vos espaces de temps dès maintenant… et tenez bon la droite… la révolution suivra!
Les abords de l’Opéra ont vu encore des cours de l’université hors les murs, que le plein air puisse étendre la culture au peuple !
Voici un nouveau type de tourisme qui va probablement nous envahir d’ici quelques années (la fonte des glaces n’est-elle pas prévue à court ou moyen terme ?).
Que peut-on offrir à ces courageux visiteurs pour les récompenser de leurs efforts ? Vos idées sont les bienvenues…
Le dimanche, au marché, je rencontre toujours des ami-e-s que je vais commencer à vous faire connaître. Voici Moktar, à qui j’ai demandé d’écrire quelques mots pour se présenter :
« Croix-Roussien depuis 40 ans par choix (je n’y suis pas né), je pense que c’est le plus beau quartier du monde, moi qui ai parcouru le quart de la planète. Il fait bon y vivre même s’il a beaucoup changé depuis que j’y ai mis les pieds, la première fois, en juillet 1969. »
Les pochoirs sont toujours aussi beau et on a la chance d’en voir toutes les semaines de nouveaux.
Un peu écolo sans doute, les artistes aux graffitis papier ne balancent pas des nuages de peinture dans la rue avec leur spray. Juste une affiche sous le bras, un peu de colle et voilà le graffiti papier collé au mur. Peut-être pas pour longtemps car, si les Pénélopes-de-jour (désormais nous appellerons ainsi les effaceurs) ne les enlèvent pas, alors la pluie et le vent feront tout le boulot.
Pas de @ en février… alors on se rattrape en mars car les ami(e)s ont continué à apprendre l’alphabet aux petits gones de la Croix-Rousse. Mais en allant doucement : il faut que les enfants commencent bien et connaissent leur A sur le bout des doigts.
En sortant de ma prison, j’ai été agressé par ces quatre personnages servis sur un plateau… pardon, sur un panneau pour « L’AFFICHAGE LIBRE ». J’ai eu peur, c’est pourquoi je ne vais pas m’abonner… et vous ?
Quand on ne sait pas si on doit aller à droite ou a gauche, on peut alors s’arrêter et regarder les angles des rues. Ici, l’angle de vue est parfait pour admirer la production de nos artistes aux sprays de couleur.
Hier (pas dans la vraie vie mais dans la vie du blog), le photographe levait le nez pour admirer le ciel de printemps… Aujourd’hui, il regarde la mère-terre et nous montre les graffitis de la chaussée et les pochoirs de sol.
