À quoi bon se laisser endormir par des airs de guitare ? Il vaut mieux se pénétrer des réalités, toutes pénibles qu’elles soient, en tâchant de les vaincre, si possible.
Lettre à Marie Jacob, 8 mai 1912
À quoi bon se laisser endormir par des airs de guitare ? Il vaut mieux se pénétrer des réalités, toutes pénibles qu’elles soient, en tâchant de les vaincre, si possible.
Lettre à Marie Jacob, 8 mai 1912