[1]La vie est une guerre, la mêlée sociale est une bataille sans pitié ni merci et, quand on est vaincu, ce ne sont pas des larmes qu’il faut verser ; il faut se ressaisir ; il faut surmonter ce ferment de nihilisme qui est en nous et tenir bon jusqu’au bout, énergiquement, au mépris de la mort.
Lettre à Marie Jacob, îles du Salut, 2 juillet 1914